3) Expérience

Matériel :

Gants
Un scalpel
De l'eau distillée
Une boîte de pétri
Un chronomètre
Une binoculaire
Une pince fine
Une caméra ou un appareil photo
3 huîtres
Une petite dose d'adrénaline
Une pipette
Un bac de dissection
Du gros sel

Protocole :

Préparer préalablement un bac de dissection avec du gros sel afin de pouvoir y mettre l’huître une fois ouverte. Ouvrir l’huître à l’aide de gants et du couteau en sectionnant le muscle adducteur de l'huître.
Repérer le cœur de l’huître à l’aide des pinces fines. Pour cela découper un morceau du tissu très délicatement, le cœur est situé sur le côté du muscle adducteur postérieur. Il est repérable par sa couleur blanche.
Déposer l’huître dans une boîte de pétri sous une loupe binoculaire afin d’être plus précis. Calculer la fréquence cardiaque de l’huître; c’est-à-dire le nombre de battements du cœur en 1 minute à l’aide du chronomètre.
Ajouter une dose d’adrénaline avec la pipette directement sur le cœur de l’huître. Puis calculer la fréquence cardiaque du cœur de celle-ci après injection pendant 1 minute.
Recommencer cette expérience avec deux autres huîtres afin d’obtenir un résultat plus pertinent.
Observer et conclure.

Le but de cette expérience était d’observer les effets de l’adrénaline sur le cœur de l’huître. Celui-ci devait en toute logique avoir une fréquence cardiaque plus élevée. Malheuresement nous ne sommes pas arrivé à des résulats concluants. Cela peut être dû à notre manipulation, nous avons peut-être mis trop d'adrénaline même si nous avons essayé plusieurs fois à l'aide d'huîtres différentes. Ou alors, dû à l'adrénaline utilisée. En effet car nos professeurs nous ont dit que l'adrénaline était restée longtemps sans utilisation, donc nous pouvons suggérer que l'adrénaline avait peut-être dépassé son "temps de vie" et ne pouvait donc pas être utilisée de façon satisfaisante. Nous avons cependant réussi à trouver le coeur de l'huître ainsi qu'à comptabiliser le nombre de battements qui était de 18 par minute avant l'injection de l'adrénaline.